CMJN fixe l’image numérique sur un un support papier : dans un flip-book de pages cyan, magenta et jaunes, les composantes théoriques du noir se recomposent à mesure que le regardeur tourne les pages. Pour une fois, pas de pixel, mais des couleurs primaires aplaties, qui ne demandent qu’à se mélanger. Un livre qui n’est plus à lire, mais à tourner en boucle, comme le programme avec lequel il a été édité.