LES PATRIOTES
La petite île de Chypre est un repaire où initialement les organismes se génèrent, males et femelles. En suite, les organismes ou « Patriotes » doivent se manger les uns les autres, sinon leur énergie baisse jusqu’à atteindre le zéro et ils meurent. S’ils mangent beaucoup et leur énergie atteint 2000, ils vont au repaire pour trouver un Patriote du sexe opposé et pouvoir se reproduire. En raison de leur ADN simplifié, les capacités de survie des organismes dépendent de trois attributs principaux : leur vitesse de nage, leur accélération et leur perception de l’environnement et leur rayon de vision. Chaque fois que la simulation commence, les ADN initiaux sont chargés de manière aléatoire, et chaque fois que deux Patriotes se reproduisent leur descendance porte une combinaison de leur ADN plus de petites variations génétiques elles aussi aléatoires. La concurrence pour plus d’opportunités est impitoyable. Le Patriote plus fort gagne contre le plus faible et, faisant ainsi, il élimine ses gènes. C’est la simple évolution du problème de Chypre !
LES STATISTIQUES
La simulation fournit des informations sur l’état actuel de la population des Patriotes sur le côté droit de la mer Égée de l’Est. La case supérieure montre les statistiques globales. Le milieu montre l’ADN ou les attributs de chaque Patriote. Les attributs d’un patriote ciblé peuvent être trouvés en appuyant sur le bouton « Next Patriot », plusieurs fois s’il le faut, ou simplement en passant la souris sur le Patriote dans la mer. La case inférieure montre les valeurs moyennes d’ADN de l’ensemble de la population actuelle. Ces moyennes sont stockées dans un graphique historique, auquel on peut accéder via le bouton « Show History ».
*Remarque: La simulation montre des résultats intéressants lorsqu’elle reste fonctionnante pendant quelques heures. Les résultats sont toujours différents et assez difficiles à interpréter objectivement. Si vous le souhaitez, vous pouvez modifier les paramètres alimentaires dans l’ADN, mais soyez prudents : de légers changements dans le taux de croissance alimentaire, la quantité maximale de nourriture et les récompenses alimentaires peuvent provoquer des effets désastreux sur l’évolution.