Partition paysagère est constituée de 4 séquences, numérotées de 1 à 4.
«En dessinant sur nature, je calque mon paysage mental. Il s’apparente à une prise de note du mouvement. Le paysage se trame, se stratifie à mesure que les pages se succèdent. Des éléments s’affirment, d’autres s’effacent à mesure que je sculpte par le dessin ma perception. Les reliefs s’appuient, les vides creusent les intervalles. Le paysage est le lieu où les temporalités s’enchevêtrent. Les éléments du sol et la végétation rythment l’espace mouvement. Ils sont les formants d’une partition, qui s’écrit comme un palimpseste.»