Jeremy Bailey rejoint la collection permanente d’ArtJaws avec quatre nouvelles oeuvres
Tout au long de sa carrière Jeremy Bailey, artiste de Toronto, a exploré le software dans un contexte performatif. Comme l’a écrit Morgan Quaintance, auteur de “Rhizome” : «Depuis les premières années, Bailey s’est crée un chemin convaincant et souvent hilarant à travers les différents développements des technologies des communications numériques. Plus précisément, les œuvres de Bailey traversent plusieurs médiums et experimentent toute sorte de performance : de la vidéo aux logiciels, des sites web aux inventions, le tout créé et présenté par son alter ego, le célèbre New Media Artist Jeremy Bailey. Bailey a étudié à l’Université de Toronto de 1998 à 2002 et a complété son Master en arts plastiques à l’Université de Syracuse en 2006. Il a pris part à des résidences au Banff Centre en Alberta Canada, au FACT à Liverpool au Royaume-Uni et au Quartier 21 à Vienne en Autriche. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions individuelles et collectives au Canada et à l’international, notamment: « Superhighway électronique », Whitechapel Gallery, Londres (2016), « The Heart is Deceitful Above All Things », Home, Manchester (2015); « You Are Here: Art After The Internet », ICA, Londres (2014); « Faceless Part II », Quartier21, MuseumsQuartier, Vienne, (2013); « The Jeremy Bailey Collection », Transmediale, Salon Marshall McLuhan, Berlin (2012); « Mosaïque », Musée polytechnique, Moscou (2012); « Mediascape, a pas de Nam June Paik », Centre d’art Nam June Paik, Séoul (2011); « Space Invaders », NIMk, Amsterdam (2010); « Hey You With The Awesome Face », Musée d’Everson, Syracuse, NY (2006).
Jeremy Bailey est actuellement representé par la Pari Namidi Gallery de Toronto.